Description
Buck – Owa
Tracklisting
- Mangouste
- Vilcabamba
- Perrache
- Téhila
- Gao
- Tébo
Line up
Yann Paulet : saxophone alto et baryton / Léo Ouillon : sax ténor et flûte traversière / Nans Paulet : flugabone et tuba / Thomas Pierre : batterie / Simon Girard : trombone / Nicolas Mondon : guitare
Le groupe
Buck est née en 2012. Ses créateurs, Yann Paulet, Léo Ouillon et Nans Paulet – trois altiligériens qu’on a pu entendre notamment avec NMB Afrobeat Expérience, The Freaks, Kunta, Loopzilla, Sabaly, Kady Diarra, Gaël Horellou – voulaient une formation musicale singulière, adaptable, capable de se produire sur toutes les scènes et dans tous les lieux. Une formation souple pour accompagner conteurs, danseurs, acteurs ou encore assurer des performances de jazz ou de musique à danser.
Le temps de deux tournées d’été en 2012 et 2013 en Haute Loire, Buck partage la scène avec le danseur contemporain Steve Paulet, l’illustrateur Jonathan Bousmar, les ateliers du Chat Botté ou encore des grands noms du Jazz comme Simon Girard ou Gael Horellou.
En 2020, le projet est relancé avec l’arrivée de Thomas Pierre (Ukandanz) à la batterie, Simon Girard (Le Peuple de l’Herbe, François Corneloup, Eric Prost XXL) au trombone et Nicolas Mondon (Leroy Burgess, Babylon Circus, NMB Afrobeat Experience) à la guitare électrique. Le spectre musical est élargi. L’inspiration et la création sont alors sans limites. Et le but est simple pour les six musiciens : jouer la musique qu’ils aimeraient entendre en concert. Cette belle émulation permet la production d’un premier album : OWA (couleurs en sioux) enregistré et mixé entre juillet et octobre 2021.
A propos
Musiques du monde contre musique des mondes : le premier album du groupe Buck ressemble a une séance de spiritisme pendant un tremblement de terre !
Des rêves intenses et agités de voyages éclairs dans l’empire Inca post-conquistadors, à La Nouvelle-Orleans un jour de Mardi-Gras cyclonique, à Chicago ou New York pendant la grande libération du jazz, à Addis-Abeba pendant l’invention de l’éthio-jazz : voici en quelques images les inspirations de ce premier album.
Une musique panoramique et transversale, toujours afro centrée, qui tire son charme et sa singularité de l’économie de moyens. Une batterie, deux saxophones, un trombone, un tuba et une guitare : rien de plus. Simplicité et sauvagerie radicales indiquent le chemin, mieux que n’importe quel GPS.
Le mode opératoire de l’enregistrement reprend d’ailleurs celui des studios mythiques : enregistrer a la manière des premiers groupes de jazz et de rock, c’est-a-dire entrer dans la pièce pour graver en direct la fragilité et la force du moment unique de la prise live.
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